Municipalité de Pérols en dérive : Cet achat pour quoi faire?
Pérols capitale du parking de luxe, 1M€, et maintenant, notre édile, est obnubilé par cette création, car à ce jour il n’a créé aucune construction visible pour marqué d’une pierre blanche sa gestion de la commune.
La création présentée par la commune ne peut accueillir qu’une seule association, une hérésie.
Qui nous coûte 1.3 M€, en prêt, pour abriter une seule association et une salle de réception ou de réunion.
En cassant l’harmonie de cet ensemble boulodrome, parc pour les enfants et le pumptrack.
Mais pourquoi partir si vite, si ce n’est pour faire un peu plus de favoritisme à une association amie.
La commune est propriétaire de ce terrain et de cette bâtisse peu entretenue.
S’endetter oui, mais pour une utilisation à toutes les associations pérolienne.
Emprunt oui mais emprunt utile.
Par exemple:
Après démolition d’un bâtiment ancien et reconstruction sur trois niveaux comme le bâtiment abritant le pôle médical.
Le rez-de chaussé des salles pour réunions, mariage et autre animation.
Le deuxième de plus petites salle pour des réunions moin nombreuse ou activité sportives ou culturelles.
Le troisième plusieurs bureaux pour toute les associations Pérolienne.
Rigolo 1er nous précise l’utilisation de cet achat.
Absurde comme explication !
« En achetant cette parcelle, cela permet de mettre en conformité les arènes en termes d’accessibilité des personnes à mobilité réduite, de mettre en conformité l’infirmerie, de mettre en conformité les vestiaires, et de mettre en conformité les guichets. »
Pourquoi une aussi grande surface pour de petits aménagements ?
Ou petits arrangements entre amis ?
Parce qu’il passe sous silence la privatisation d’une partie de cette propriété qui servira de ‘bodega’ à une association taurine.
Association déjà bien pourvu en subventions.
Qu’il nous est impossible de quantifier.……
Cette idée n’a t’elle pas germé dans au moins un élus de l’équipe majoritaire!
Jean Pierre Rico le bonnet d’âne des élus de la métropole.
Mais Rigolo 1er n’en n’est pas à sa première subvention curieuse. (clic ici pour voir notre article du 7 septembre 2020)