Alliance Ethique nous informe.

Palavas a organisé pendant 20 ans des corridas.

En 2017, devant le désintérêt grandissant du public et l’argent que cela coûtait aux contribuables, Christian Jeanjean a décidé d’arrêter les frais…

Les coûts des corridas sont souvent englobés dans le budget général des festivités. Mais cet arrêt à Palavas nous en apprend quand même un peu + sur les réels coûts de la tauromachie espagnole.

=A noter que ce flou est régulièrement épinglé par la Cour Régionale des Comptes=

–  » Avec corrida, les subventions pour la feria est de 145 000 euros, sans corrida cela tombe à 65 000 euros » (Midi Libre)

Soit une économie de 80 000 euros pour la ville pour 2 corridas.

–  » L’organisation d’une corrida a un coût, entre 100 000 et 150 000 euros le spectacle et une subvention de 60 000 euros pour chaque corrida allouée par la ville » (L’Agglorieuse)

Soit une économie de 120 000 euros pour la ville pour 2 corridas.

80 000 ou 120 000 euros de subventions pour 2 corridas?

Retenons donc un besoin de subventions (privées ou publiques) entre 40 000 et 60 000 pour une seule corrida, comme à Pérols.
Il ne devrait pas en être très différent ici.

– Les arènes de Pérols ont 1700 places, une place est vendue 40 euros, ce qui fait une recette de 68 000 euros au maximum (si on oublie les places offertes, elles seraient prévues à hauteur de 700 à Pérols au cas où elles ne seraient pas toutes vendues…)

En résumé: un corrida coûte environ 100 000 euros, il y a environ 60 000 euros de recette avec les places vendues… il manque donc +/- 40 000 euros à trouver.

Pour réaliser une opération blanche comme le déclare M Rico ou son premier adjoint M Marcou, il leur faut donc trouver +/- 40 000 de subventions privées avec des sponsors.

Pour l’instant, ils se font discrets (ou absents?) – aucune publicité sur ces entreprises « mécènes » qui auraient promis un don pour le sacrifice des 6 animaux…

Nous ne manquerons pas de leur faire de la publicité le moment venu. (nous en avons déjà un)

(En commentaire les extraits des journaux d’où sont tirés les chiffres)

Le problème est vite posé qui va aider le club taurin à équilibrer son budget ?

Maire à Pérols : L’art du paraître.

Du paraitre qui coute une fortune aux administrés Péroliens

A Pérols en matière de politique locale, l’affichage  (l’illusion, le paraître) a supplanté la stratégie opérationnelle  (les actes, le réel, le performant ..) 

Le « villageois »  très attaché aux traditions est conquis.
Certains  habitants  sont émerveillés par les fleurs et les magnifiques portes d’entrée de la « citadelle » . 
D’autres sont  d’une « fidélité » aveugle au groupe majoritaire ! 
Enfin d’autres se satisfont « des petits avantages ou d’intérêts   personnels » .

La grande majorité des habitants ne s’intéresse pas aux frasques d’un Maire « hors sol »!  Pourtant c’est leur argent qui sert la gabegie !  (abstention record ) 

Alors chantons : (Georges Moustaki)

« Pendant que je dormais, pendant que je rêvais »

« Les aiguilles ont tourné, il est trop tard » 

« Mon enfance est si loin, il est déjà demain 

 » Passe passe le temps, il n’y en a plus pour très longtemps… »

Il sera trop tard ?  

Trop de séances du conseil municipal d’un très bas niveau, auront décati le beau « village de métropole » ! L’argent gaspillé ne reviendra pas !

Le renoncement d’un maire dépassé se traduit par des opérations d’externalisations de délégations de services publics tels que les crèches , le centre de loisir, la garderie des enfants scolarisés à Pérols etc.  …
« L’éloge de la fuite » ou de « l’incompétence » ?

L’économie et le bien vivre Pérolien,  seront conservés grâce à une gouvernance Métropolitaine efficiente !  

L’appartenance et la dépendance économique au groupe « métropole », sauveront l’économie locale et le lien social du « lieu de vie »  Pérols. La métropole fait son travail sur Pérols pendant que d’autres font la fête au taureau !!!!  

 Une municipalité indépendante est-elle encore utile à Pérols ?
« Allo! la Mairie de Pérols…
Réponse : « c’est pas nous » c’est la métropole, ou la Police à Lattes ou …..

« Ainsi passe le temps, il n’y en a plus pour très longtemps ! « 

sosperolsnotrevillage.fr  ….  Le meilleur lanceur d’alertes de Pérols 

Pourquoi payez vous 20 % de plus de taxe foncière à Pérols ? :
« Pour payer les excès inutiles du Maire » !  (+ de 2,5 millions d’€ de gaspillage !)

Sans commentaire…..

A si……..

La novillada se fera …..écoutons monsieur le maire:

« Les Péroliens le demande, je le fait »

Pour monsieur le maire les Péroliens sont………le président du club taurin……?

Merci à France 3.

Un commentaire trouver sur facebook CRAC Europe (Clic ici )

Il faut quand même ne pas s’étouffer en entendant un truc pareil.
-Qui a demandé ???!!

J’ai pas souvenir qu’on ait été consultés.
-S’il suffit de demander pour obtenir:
je demande la réfection du macadam à la sortie de mon lotissement (qui est plein de trous depuis des années),
le rétablissement du sens de circulation avenue de Montpellier (parce que passer par le centre c’est n’importe quoi),

la non-privatisation de l’espace famille.
Et ma fille voudrait des frites à la cantine toutes les semaines aussi.

Quand je pense qu’il disait « dans Pérolien, il y a lien », il a réussi à semer la zizanie et à cliver Pérols à lui tout seul.

Pérols, PLUIc presentation publique du 12 avril 2023.

Réunion publique salle Yves Abric le 12 avril 2023,   Thème le PLUIc 

Pour les personnes qui souhaitent s’intéresser à la gestion des affaires municipales  …ci dessous le dossier de présentation du PLUI janvier 2023 (Clic ici)

POURQUOI ÉLABORER UN PLUI-CLIMAT ?

La transformation en Métropole, au 1er janvier 2015, de la Communauté d’Agglomération de Montpellier a entrainé le transfert de la compétence Plan Local d’Urbanisme (PLU) des communes membres vers la Métropole.

La Métropole, en collaboration avec les communes, a souhaité engager l’élaboration d’un Plan Local d’Urbanisme intercommunal (PLUi), afin de répondre à 2 objectifs majeurs :

  • Décliner localement les orientations stratégiques du projet métropolitain et du Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT) révisé en novembre 2019, définis collectivement. ;
  • Permettre la réalisation des projets urbains locaux.

sosperolsnotrevillage.fr

Henry-Jean Servat sa lettre ouverte.

Henry-Jean Servat demande un débat à Jean-Pierre RICO, le courrier est parti et reçu depuis quelque temps mais notre maire comme à son habitude n’a toujours pas répondu.

Monsieur le maire Jean-Pierre Rico, 
Je vous espère au mieux. Je crois avoir découvert, peut-être avant vous, les arènes de Pérols où j’ai passé beaucoup de temps, installé en leur beau milieu. 

Au sortir d’université américaine, je suis venu, coeur tout blanc et griffes aux genoux, débuter ma carrière de jeune journaliste à Midi Libre.
Affecté à la rédaction locale de Montpellier, ville où je suis né, je m’y suis occupé des spectacles.

A ce titre et par goût personnel, j’ai donc assisté à un nombre incalculable de galas qui se déroulaient, sous les étoiles. J’ai ainsi vu et entendu chanter, à Pérols, la quasi-totalité des vedettes yé-yés.
J’écrivais l’article le soir même ou le lendemain, selon l’heure de fin du show, non sans être passé par les loges, installées près du toril, où je posais deux ou trois questions à Julien Clerc, Michèle Torr, Johnny et Sylvie, Adamo, Dalida et à quasiment tous les autres venant faire quelques tours sur la piste.

Je bénéficiais de places gratuites de la part du comité des Fêtes et j’emmenais avec moi des journalistes de Midi Libre, des copains et des copines.

Nous étions, alors, jeunes et beaux, enthousiastes et enjoués, et surtout modestes. Le moment était à la légèreté, à la drôlerie, à la grâce, au charme et ce, au long de plusieurs étés répétés, plusieurs années durant. 

Hier, Pérols incarnait la modernité, l’amusement, la joie de vivre et la fête


Pour tous les Péroliens et pour la population à l’entour, ce si joli petit village incarnait la modernité, l’amusement, la joie de vivre et la fête des foules sentimentales.
On s’amusait, on riait, on dansait à Pérols qui nous faisait follement rêver.
J’éprouve, sincèrement, beaucoup de sympathie et d’attachement pour cette commune que je longeais au moins deux fois par jour, en empruntant la voie rapide de Carnon puisque, chaque soir, je rentrais chez moi dormir au bord de la mer.
Il y avait, déjà, un gros taureau de fer installé sur la route ou presque qui nous rappelait les courses Camarguaises et les toros-piscines organisés à Pérols.

Depuis, j’ai grandi, voyagé, travaillé pour d’autres journaux, fait de la télévision et été élu, moi aussi, à Nice, ville magnifique où j’ai la charge et du cinéma et des animaux.

A plusieurs titres donc, je vous adresse ces quelques lignes pour vous demander quelle mouche a bien pu vous piquer.
Pourquoi donc avoir décidé, sans consultation aucune de vos administrés, sans préalable ni précaution, de rétablir cette horreur de corrida dans vos arènes ?

Demain, Pérols va se retrouver indissolublement liée à la cruauté


Chacun sait bien que la corrida, c’’est moche, sale, violent, sanguinolent, que cela n’a rien à voir avec la culture ni l’art puisqu’il s’agit de torturer lentement et cruellement des animaux splendides.

En voulant accueillir à nouveau, en ce qui fut un lieu de bonheur et de grâce, plus de vingt ans après qu’elles en ont disparu, ces séances mortifères, vous allez en marquer à jamais votre village au fer rouge.
Pérols, que chacun chérit depuis toujours et pour l’éternité, à la suite de cette décision invraisemblable, va, en effet, se retrouver indissolublement liée à la cruauté.

Alors que tout un chacun va, aujourd’hui, en se détachant de cette activité déshonorante, que de moins en moins de corridas ont lieu en France, que leur public s’étiole, que les recettes en fondent comme neige au soleil, que 81% des français refusent cette mise à mort d’animaux, en quoi s’avère-t-il indispensable de reprogrammer pareille horreur ?
Qui va gagner une mauvaise réputation en cette affaire ?

Débattons ensemble monsieur le maire !

Par delà les dépenses à engager, les déficits à annoncer, l’image abîmée à venir de votre ville, l’indéniable salissure apportée par une infâme vieillerie qui n’a plus cours, les flaques de sang maculant le sable blond où Sylvie chantait qu’elle était la plus belle pour aller danser, que cherchez-vous donc ?
Je me propose de vous poser cette question et d’autres, lors d’un débat que je souhaite public, que Midi Libre organisera à une date de votre choix, dans ses locaux du Mas de Grille.

Personne ne peut oser imaginer que vous puissiez vous dérober à cette rencontre voulue courtoise, franche et honnête, sur le thème du « Retour de la corrida ? ».
Je vous attends donc, seul ou accompagné de qui vous le voulez. Si vous êtes plusieurs, si j’ose dire, je demanderai à Claire Starozinski présidente de l’Alliance anticorrida, d’être à mes côtés pour dialoguer avec vous.

Dans l’attente de vous lire et dans l’attente, il va sans dire, d’une réponse favorable de votre part, je vous prie de croire, monsieur le maire, en l’assurance de mes salutations distinguées.

Henry-Jean Servat