Pour la première fois, Jean Pierre Rico répond à nos questions.

Notre article mis en ligne à 8 heures 41 intitulé
« Quand ils ont une idée dans la tête, ils ne l’ont pas ailleurs. » (Clic ici pour lire l’article) a dû fortement déranger monsieur le maire qui nous a répondu par un communiqué de presse à 10 heures 58.

Jean-Pierre Rico, maire de Pérols : « Il n’y aura pas de corrida cet été »

C’est par un article très long dans lequel il décrit ses desiderata. (Clic ici pour lire l’article)
Un autre article au début de cette « folle aventure  » confiant dans leur propos. (Clic ici pour lire l’article)

Cela ne change pas notre position.
Jean Pierre Rico va-t-il rembourser aux Péroliens, sur ses deniers, les frais engagés dans cette folle aventure ?

Quand ils ont une idée dans la tête, ils ne l’ont pas ailleurs.

Jean-Pierre Rico persiste.
Le « nouveau procès », sur le fond est annoncé !
Il va permettre de définir si Pérols a le droit ou non de reprendre ses sacrifices d’animaux après plus de 20 ans d’arrêt.
Date du prochain procès  le 14 mai prochain à Montpellier !
Jean Pierre Rico va-t-il rembourser aux Péroliens, sur ses deniers, les frais engagés dans cette folle aventure ?

 

Course aux labels, le flop. La suite.

Où en est la protection incendie des habitants et des bouches incendies de ce quartier ?

Cette partie de notre dernier article nous a valu quelques messages.

-« Je n’ai jamais vu quelqu’un tester la bouche incendie devant chez moi »
-« Oui, j’ai remarqué que la bouche incendie près du poste EDF servait à remplir des citernes. »
-« Pérols est un joli village de banlieue avec de très nombreux espaces végétalisés : palmiers, plantes diverses et variées, en pots ou pas…
C’est très joli !
Mais c’est également très gourmand en eau.
De plus a t’on une idée du budget annuel  « plantes » à Pérols ?
A t’on une idée également du cout d’entretien des plantations ?
A t’on des éléments financiers de comparaison avec les communes voisines?
Merci monsieur le maire pour vos réponses à ces questions.
A défaut, si quelqu’un a des éléments de reponse… »

Quelques règles :

« Art. R. 2225-10. – Des reconnaissances opérationnelles des points d’eau incendie destinées à vérifier leur disponibilité opérationnelle sont réalisées par le service départemental incendie et de secours, après information préalable du maire ou du président de l’établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre lorsqu’il est compétent. Ces reconnaissances opérationnelles effectuées par les sapeurs-pompiers ne comprennent pas d’entretien. »

«ART L. 2213-32 du code général des collectivités territoriales dispose que la défense extérieure contre l’incendie est placée sous l’autorité du maire. À ce titre, les maires doivent veiller à ce que les points d’eau pour l’alimentation des services d’incendie soient disponibles et fonctionnent.»

«ART L. 2225-3 du CGCT dispose que : « Les communes sont chargées du service public de défense extérieure contre l’incendie et sont compétentes à ce titre pour la création, l’aménagement et la gestion des points d’eau nécessaires à l’alimentation en eau des moyens des services d’incendie et de secours.»

La loi prévoit une peine de cinq ans de prison et une amende allant jusqu’à 75 000 euros d’amende pour l’ouverture illégale et intempestive des points d’eau incendie (PEI) connectés au réseau d’eau potable.
Forcer les bornes constitue en effet une détérioration ou dégradation d’un « bien destiné à l’utilité publique et qui appartient à une personne publique » (articles 322-3 8° du code pénal).
Par ailleurs, tout prélèvement d’eau sur les bornes et poteaux d’incendie par des personnes non autorisées pourrait être considéré comme un vol d’énergie au sens des articles 311-2 et suivants du code pénal, et sanctionné d’une peine d’emprisonnement de trois ans et de 45 000 euros d’amende.

Quand on utilise une source d’eau communale, il faut un compteur.

Pour nous écrire uniquement sur sosnotrevillage@gmail.fr

 

Course aux labels, le flop

Grand Montpellier :  quelles sont les 18 villes labellisées « Commune Économe en eau » ?

18 communes, qui sont parvenues à une réduction globale de leur consommation de 15% entre 2022 et 2023,

Elles décrochent le label « Commune Économe en Eau »

C’est un label « Commune Économe en Eau » qui encourage et valide les efforts des collectivités locales qui s’engagent dans une politique rigoureuse d’utilisation de la ressource en eau.

Les lauréats 2024  « Commune Économe en Eau » :
Castelnau-le-Lez, Castries, Clapiers, Cournonsec, Fabrègues, Grabels, Jacou, Lattes, Lavérune, Le Crès, Montpellier, Montferrier-sur-Lez, Murviel-lès-Montpellier, Prades le Lez, Vendargues, Saint-Drézéry, Saint-Georges d’Orques et Sussargues

Quelques chiffres 2023 :
Grabels : – 15 % de consommation sur les espaces verts entre 2022 et 2023
Le Cres : – 9 % de consommation globale entre 2022 et 2023 (- 65 % depuis 2019)
Vendargues : – 12 % de consommation globale entre 2022 et 2023 (- 30% depuis 2019)

Il serait intéressant de savoir les pertes d’eau en ligne à Pérols ?

A Pérols avec toutes les fontaines, cela ne va pas s’arranger ?
Il semblerait qu’une troisième fontaine est en projet ?
Un label de moins !

Dans quel état sont les conduites d’eaux de notre commune ?

Un exemple de fuite d’eau à Pérols.

Une bouche incendie à quelques dizaines de mètres de chez monsieur le maire est utilisée régulièrement pour remplir une cuve citerne posé sur un véhicule, à force la bouche d’incendie n’a plus de protection.

Où en est la protection incendie des habitants et des bouches incendies de ce quartier ?