À la fin, c’est toujours le contribuable qui paie »
A la mairie de Pérols, c’est du gaspillage à tous les étages
A Pérols « le contribuable qui paie »
Le propriétaire, les personnes physiques ou personnes morales.
A Pérols, il y a 4 900 logements et plus de 1 000 locaux professionnels !
Compte tenu des multi propriétaires, on estime un peu plus de 3 000 » foyers fiscaux Péroliens » sont assujettis à la taxe foncière.
Plus de 6 sur 10 et non 4 sur 10 comme l’indique le maire en séance de conseil municipal !! (Erreur ou étourderie ?)
Certains sont aussi propriétaires de locaux professionnels et de locaux d’habitation ! (SCI …)
Par contre certains (élus) sont hébergés à titre gratuit !
» Quelle chance « .
Pas d’impôts locaux !
En global c’est la recette de fiscalité directe qui a Pérols est exceptionnelle.
Cette recette « remarquable » est chaque année à disposition du Maire : 1 238 € par habitants !
Dont 300€ par habitant par an, gaspillés ou très mal utilisés !
Un scandale !
Plus de 12 millions d’€ de recette fiscale !
Où passe l’argent public ?
Deux forages non concluant et bientôt un troisième pour alimenter la fontaine Bourvil.
CCela ne justifie pas… une gestion la plus dispendieuse observée et une politique d’investissement incohérente :
Des investissements non structurants, qui n’anticipent pas sur les risques liés aux changements climatiques, et qui ne créent aucune valeur ajoutée en terme de services publics. « Stratégie absurde »
Cela ne justifie pas … une stratégie d’investissement totalement décalée par rapport aux urgences et aux attentes des usagers Péroliens en particulier des petits entrepreneurs, artisans commerçants, qui sont souvent loueurs !
Qui paie et qui sont les propriétaires bailleurs qui se gavent à Pérols ?
Pourquoi tant de fermetures de commerces comme au Fenouillet ou dans la galerie marchande d’Auchan et maintenant dans la Grand rue du village ?
C’est à la fin de deux mandats que l’on mesurera, trop tard, l’étendue des dérives budgétaires incohérentes
Le manque d’équité fiscale a créé une fracture sociale.
Ceux qui payent.
Ceux qui « profitent ».
Au village « cœur de ville » l’économie parallèle excessive en devient inacceptable !