Nous l’avons dit plus d’une fois sur ce blog réunir autant de personnes sur une si petite surface est irresponsable.
Ce soir encore plus, il était obligatoire de contrôler les pass santé et rendre le port du masque obligatoire à partir de minuit ?
Quid des habitants du centre-ville qui ont du présenté leur pass santé alors qu’ils se rendaient à leur domicile et ne participé pas à la fête ?
Pourtant, la liberté de circulation est le droit pour tout individu de se déplacer librement.
Elle est garantie par l’article 13 de la Déclaration universelle des droits de l’homme depuis 1948.
Alors pourquoi maintenir toutes ces festivités, l’entêtement de cette majorité est devenu dangereuse pour les Péroliens.
Dans ce rassemblement il est flagrant de voir que les Péroliens ont fui ces fêtes multiples et excessives.
A vingt-deux heures nombre de commerçants avais déjà remballé avec une mine déconfite de ne pas avoir gagner leur vie.
Le Maire de Pérols continue ses postures clientélistes et utilise ces instants festifs pour faire remonter sa popularité.
Il se dit en ville, que pour que cette fête soit bien remplie de festivalier, monsieur le Maire a invité de nombreux Péroliens choisis.
On suppose à ses frais personnels ?
Il serait mal venu que ce soit l’argent de nos impôts qui serve à faire la claque à notre édile ?
Ces fêtes d’été sont une formidable occasion pour créer du lien social et il est dommage de séparer les Péroliens en deux catégories ceux qui bénéficient des largesse de notre édile et les autres.
Un temps passé les associations de commerçants et autres associations sportives géraient très bien ces occasions festives .
Cela coutait bien moins cher à la communauté et rapportait plus aux associations !
Monsieur le Maire de Pérols, seigneur du village a-t-il besoin de s’exposer plus ?
Sans doute a-t-il trop d’agent public ?
Ces fêtes ne tiennent que par le dévouement des employés communaux.
Le clientélisme est plus efficace que la loi, le vote étant devenu un rituel spectaculaire .
Le secret de Jean Pierre Rico est de donner des espérances à tous ses amis proches.
Les autres devront habiter ailleurs, comme il a déclaré en conseil municipal (clic).
