Nous étions hier soir  présent aux vœux de monsieur le maire.

Ce n’est pas en invectivant une  apposant politique, moins grossièrement et injurieux, que lors de l’une de ses réunions publique sur un pérolien, en vilipendant une association opposante à la grosse augmentation de l’impôt municipale ou en s’appropriant des  résultats qui ne sont pas les siens,  que la concorde va revenir dans notre village

Notre équipe municipale majoritaire est en ordre de bataille pour les prochaines municipales si l’on analyse les propos tenus par monsieur le maire à ses vœux et le Midi Libre du 23 novembre 2018

Notre maire y déclare :

« J’ai vécu un premier mandat terrible où il a fallu réparer : les finances, le patrimoine municipal, l’espace public. Un second mandat permettrait de finaliser les actions »

Cela est-il bien raisonnable pour calmer les tensions de pratiquer de la sorte?

Monsieur le maire un peu de tolérance et de bon sens dans vos propos et actions ferait bien baissez là tentions dans notre village.

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Nos vœux

En 2019, souhaitons de tout cœur que l’on parvienne à empêcher les nuisibles de nuire, les médisants de médire, et les malfaisants de malfaire !

Il y a beaucoup plus de gens de bonne volonté dans notre commune que de fous dangereux.

Il n’y a pas de raison pour que la majorité et l’intelligence ne l’emporte pas.

Arrêtons les anathèmes, les insultes gratuites, les intimidations, mettons-nous autour d’une table pour discuter de l’avenir de Pérols en élaborant un RIC municipale et laissons les Péroliens trancher.

Voila un seul souhait pour cette nouvelle année, mais si au moins celui-ci pouvait se réaliser…

colombe de la paix 2

 

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le PPI c’est quoi?

Le Plan Pluriannuel d’Investissements est au cœur de la prospective financière et traduit les volontés d’investissement sur une période donnée.

Outil de pilotage indispensable autant pour les élus que pour les cadres de la commune, il permet d’exprimer de manière exhaustive l’ensemble des projets et leur découpage dans le temps, en tenant compte des délais et de chaque étape de réalisation.

Il permet surtout de savoir si le programme d’investissements d’une collectivité est compatible avec le maintien de ses grands équilibres financiers.

À ce titre, il doit être réalisé le plus tôt possible, afin d’assurer la cohérence de la mise en œuvre du programme de mandat.

Il structure, annuellement, une part essentielle du débat d’orientations budgétaires.

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Une leçon de bon sens.

Écoutons ce qu’il dit et nous comprendrons se qu’il c’est passé  pendant  plus de 25 ans (cinq mandats jusqu’en 2013) dans la gestion des affaires de la cité de Pérols

Pour aboutir à une situation de quasi faillite en fin 2013

 

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On nous a écrit

 

La taxe d’habitation serait, paraît-il, en voie de disparition.

D’une part, ce n’est pas vrai. D’autre part, cela ne signifie pas la disparition des impôts locaux, comme le montre l’arsenal fiscal qui restera en place.

D’abord, la taxe d’habitation ne disparaît pas puisque les assujettis à l’IFI ne bénéficient pas de l’exonération et subissent donc une nouvelle double peine en tant que propriétaires immobiliers : assujettis à la taxe d’habitation parce qu’assujettis à l’IFI !

En outre, si la taxe d’habitation disparaît pour certains, cela ne concerne que la résidence principale.

Il reste donc celle sur les résidences secondaires qui, de surcroît, ne bénéficie pas des abattements propres à la résidence principale et souffre même d’un prélèvement spécial supplémentaire sur la valeur locative, d’une majoration spéciale de 5 à 60 % à la discrétion de la commune, voire d’un prélèvement de 4,5 % au profit de l’État pour frais de recouvrement.

Et n’oublions pas la taxe d’habitation sur les logements vacants qui, elle aussi, reste en vigueur, ou tout simplement la redevance audiovisuelle qui accompagnait jusqu’à présent la taxe d’habitation et continuera dans tous les cas d’être réclamée.

Cela dit, il faut surtout noter que les autres impôts locaux à la charge des ménages restent largement présents et seront, à n’en pas douter, une source d’inspiration si la nécessité se fait sentir de compenser la taxe d’habitation.

Citons pêle-mêle la taxe foncière sur les propriétés bâties, la taxe foncière sur les propriétés non bâties et la taxe pour frais de chambre d’agriculture qui l’accompagne, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères, la taxe de balayage et une kyrielle de petites taxes qui éclosent comme des champignons :

  • Taxes nationale et communale sur la cession des terrains devenus constructibles
  • Majoration forfaitaire de la taxe foncière sur les terrains constructibles en zone urbaine
  • Taxes spéciales d’équipement pour les établissements publics fonciers ou la société du Grand Paris
  • Taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties
  • Taxe spéciale au profit de la région Ile-de-France
  • Taxe sur les friches commerciales
  • Taxe pour la gestion des milieux aquatiques et la prévention des inondations, etc.

Ce n’est donc pas demain que les Français ne recevront plus d’avis d’imposition locale. Au contraire, il suffit de regarder un avis de taxe foncière pour constater l’imagination sans borne des gouvernements dans la multiplication des taxes locales.

Et que les locataires ne croient pas y échapper. Il y a toujours un moment où ces taxes assises sur un bien immobilier se répercutent, directement ou indirectement, sur celui qui l’occupe…

olivier_bertaux_expert_fiscalOlivier Bertaux, conseiller fiscal

 

 

 

 

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