La bodéga annulée et les abrivado sont passés sous silence.
Une fois de plus monsieur le Maire se prend les pieds dans le tapis.
Nous retiendrons l’histoire du restaurant « La cabane » : un coup on avance, un coup on recule.
Nous nous souvenons du coup des antennes – Pas de permis mais on les autorise quand même. (clic pour voir l’article)
Nous retenons la pantalonnade du vacci-drome – (Fausse annonce clic)
Voici la dérobade des soirées taureaux-bodega, qu’allons-nous faire des fleurs ?
Un coup, de Mai à Juin, un coup pas avant fin juin (voir annonce de la ville de Pérols)
Est-il vraiment trop fort ce nouveau responsable de la communication à la Maire ?
Quelle différence entre ces deux affiches?
La première se revendique des décisions gouvernementales qui ont été prises depuis longtemps, mais comme d’habitude le Maire n’en fait qu’à sa tête.
( Il est étonnant que cette mise à jour a été faite une heure après notre publication.)
Les abrivado ont aussi disparu, toujours pas de sa faute, pourtant le décret était très explicite
La deuxième beaucoup plus réfléchie et montrant les différentes contre vérité de cette animation.
Existe-t-il encore une équipe majoritaire qui réfléchit « ENSEMBLE » ?
La ville de Pérols soutient la course camarguaise.
Non!
Monsieur Rico lui seul, conseiller par un organisateur de course camarguaise*, dilapide notre argent dans des dépenses somptueuses** pour ces courses, réduisant nos capacités financières.
Non monsieur Rico la culture c’est l’ouverture, la découverte, l’ouverture d’esprit pour tous.
À quand :
La ville de Pérols soutient les représentations théâtrales.
La ville de Pérols soutient les représentations vocales.
La ville de Pérols soutient les représentations symphoniques………
Pour monsieur Rico ne compte que la course camarguaise et les bodegas ce qui démontre l’étroitesse de sa vision de la culture.
L’incroyable est que toute l’équipe majoritaire suit comme un seul homme ses délires.
Tu n’es pas Péroliens si tu n’as pas joué aux taureaux dans la cour d’école.
Si tu n’es pas comptant, tu quittes Pérols.***
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