Mais que s’est-il passé dans la tête de notre édile pour qu’il fasse volte-face sur la corrida à Pérols ?
Le 14 novembre 2021, interrogé par Hérault Tribune (Clic ici) il tenait c’est propos:
Jean-Pierre Rico :
Petit préambule : dans les arènes de Pérols, il n’y a pas de corridas ; on ne tue pas de toros.
Nous perpétuons la tradition camarguaise, que l’on adule.
L’équipe municipale a un projet de réhabilitation pour ces arènes.
L’idée est de construire au-devant un petit bâtiment doté d’un ascenseur pour accueillir les personnes à mobilité réduite.
Il y aura 40 places PMR.Il poursuit par cette envie :
J’aimerais aussi y présenter de la boxe en cage, jusqu’à présent interdite en France.Et il fini par :
Le premier combat se déroulera à Paris ; j’espère que le deuxième se tiendra à Pérols !
Partir de « dans les arènes de Pérols, il n’y a pas de corridas ; on ne tue pas de toros » et arrivé a faire trois procès aux associations de défense des animaux pour imposer une corrida à Pérols.
En passant par J’aimerais aussi y présenter de la boxe en cage.
Où est la logique ?
Que s’est-il passé, les différents événements au club taurin depuis l’élection de monsieur Jean Pierre Rico sont-ils la conséquence de ce revirement de politique ?
Vouloir imposer ces deux faits de société à la population de Pérols :
-sans explications,
-sans consultations,
-sans budgétiser ces activités,
Qui crée une fracture sociale dans notre commune ?
Un lecteur peut-il nous expliquer ce revirement ?