A Pérols, toujours à la pointe du ridicule.
Les graffitis, c’est un problème, mais ne pas avoir gardé un pot de la même couleur que le ravalement, là, il y a vraiment un problème de maintenance.
Monsieur jean Pierre Rico dépense l’argent public (nos impôts) pour peindre, repeindre, repeindre un mur peu visible le long de la quatre voies alors que presque personne ne le voit et ce mur des arènes où tout le monde passe, traité à la va-vite ou à la va-comme-je-te-pousse, ridiculise le rayonnement de Pérols.
L’association abandonne cet endroit où l’on vide les peintures dans le récupérateur des eaux de pluie.
Ses priorités resteront toujours pour nous une énigme.
Des portes pourquoi ?
Des précieuses fontaines pourquoi ?
L’acquisition d’une maison près des arènes à 450 000 € pourquoi ?
L’acquisition d’un terrain en centre village à 650 000 € pourquoi ?
Bref un maire pourquoi ?
Le seul oiseau qui arrive à chanter les pieds dans la merde. Le coq gaulois symbole de la France.