Trois bréves.

Budget 2024 :
Le gouvernement va demander des économies aux ministères et aux collectivités locales.
Une bonne nouvelle pour les contribuables propriétaires foncier de Perols :

Les taux d’imposition vont ils baisser ?
C’est pas gagné car le mot « économie » ne fait pas parti du langage de Jean Pierre RICO.
A l’attention de notre maire pour éclairer sa lanterne :
Économie, définition du Robert en ligne :
Nom féminin,
Bonne administration des richesses matérielles (d’une maison, d’un Etat) ;
Littéraire  : gestion où l’on évite toute dépense inutile.

A Perols, y a du boulot pour faire des économies !!!!

On parle encore de Pérols sur les réseaux sociaux.

===RDV samedi matin à PEROLS===

« Ne permettons pas aux corridas de se réinstaller à Pérols.
Elles ont disparu logiquement et naturellement il y a 20 ans par manque d’intérêt du public.
Depuis notre société a évolué en prenant d’avantage en compte la souffrance des animaux et Pérols s’est tournée 100% vers la bouvine.
Ce weekend le lobby de la tauromachie espagnole « s’est invité » à Pérols pour présenter dans la salle Yves Abric son exposition pro corrida.
Samedi son principal représentant sera là à midi pour l’expliquer et soutenir la tauromachie espagnole à Pérols et dans la région.
Ne permettons pas à ce lobby faisant l’apologie de la cruauté sur les animaux (art 521-1 du Code pénal) de tenter de faire croire aux élus et certains péroliens que la corrida mérite de revenir à Pérols!
Rappel: la décision du non retour des corridas à Pérols n’est que provisoire, cette propagande pro corrida n’est pas là par hasard, il n’y en a jamais eu avant à Pérols.
Soyons présents pacifiquement mais déterminés pour tourner définitivement cette page nauséabonde de notre histoire.
Manifestation déclarée.
Ensemble pour l’abolition.

Des belles barrières partout en ville.
Des bordures fleuries.

Pour accueillir les festivaliers
Mais toujours le même nombre de commodités, monsieur le maire il n’y a pas comme un oubli dans vos travaux ?

Grâce à vous, en centre-ville nos murs resteront ils toujours les réceptacles des indélicats ?