Pérols le coeur de ville une économie en souffrance.
Le village en Métropole : une campagne publicitaire communale qui a couté cher aux administrés Péroliens.
Pour quel intérêt général ?
C’est ce qui donne une identité particulière du village de Pérols ?
On ne voit pas laquelle :
Pensez vous qu’une statue monumentale en bord de la nationale ou que plusieurs portes d’entrée vont créer une attractivité supplémentaire ?
On ne voit pas ?
Quelle stratégie?
Pensez vous que la stratégie, conduite par le Maire de Pérols et par son adjointe en charge du commerce et du cœur de ville, a apporté une activité économique supplémentaire ?
Aucun effets sur les indicateurs de performance économique.
La municipalité est à la peine pour se créer une nouvelle ressource autre que fiscale ! Par contre elle sait très bien créer de nouvelles dépenses
Gouvernance de la commune :
c’est une succession d’erreurs d’investissement improductifs (les portes, les parking , les acquisitions foncières, les statut, les fontaines, les oliviers de 600 ans, … )
Des opérations d’animations festives, qui ont plutôt dégradé l’image du village et de la ville.
Elles ont plutôt infléchi la performance économique du territoire communal (faible croissance de population de logement, d’emplois, de recettes fiscales) .
L’imposition locale, et des loyers élevés ont dégradé son attractivité économique.
Si nous faisions le rapport : « couts / produit » des opérations de développement économique ciblées sur le village sur le cœur de ville avec ses arènes et un pumptrack, nous serions étonnés de découvrir l’une des raisons de la gestion déficitaire d’un Maire utracrépidarien.
Des commerces du cœur ville ferment et se bradent.
Lorsqu’un nouveau commerce arrive il ne fait que remplacer un qui vient de fermer !
En cherchant nous ne trouvons, en centre ville, que quelques commerces nouveaux.
En conséquence de la forte hausse des taux d’imposition votée en 2016, par Monsieur le Maire et par son adjointe, les charges fixes (loyers et taxes foncières, ) sont devenues bien trop élevées pour assurer une activité commerciale rentable !
Les faits ne trompent personne :
-Le bar « Le Floride » est à vendre.
-Le pressing est à vendre.
-Le restaurant « Père Peinard » est vendu.
-Le restaurant « La petite cour » est définitivement fermé.
-La boucherie cherche un repreneur.
-Le marchand de journaux et presse a fermé !
-La rumeur dit que l’hôtel « Eurotel » au fenouillet serait à vendre !
Et aussi:
Allez voir la galerie marchande d’Auchan le nombre de boutiques fermées !
Allez voir l’état de friche de la zone nord du Fenouillet (ex Besson Darty !!!!)
L’immobilier à Pérols des doutes pour l’avenir :
-Baisse du nombre de transaction immobilière.
-Bientôt baisse des prix de l’immobilier ?
Nous décernons le grand prix de hypocrisie à Mme l’adjointe en charge du commerce à Pérols :
En 2016 elle a voté pour la hausse de +36 % des taux d’imposition : la taxe foncière très élevée à Pérols c’est aussi pour les locaux « professionnels » (les commerçants) .
« Main droite, je donne un coup de poignard , main gauche je signe une pétition de soutien aux commerçants .
C’est sans doute cela faire de la politique à Pérols « !
La gouvernance de la commune de Pérols agit à contre sens :
Plus dépenses de fonctionnement , moins d’investissement !
Ce sont tous les secteurs économiques, particuliers comme professionnels, qui en pâtissent ; Plus les taxes (foncières) sont élevées plus les loyers suivent. en particulier les loyers de locaux commerciaux .
Il ne fait pas bon investir sur le territoire de Pérols encore moins dans le centre village de Pérols !
Et en plus la municipalité est ruinée.
En 2023 chers contribuables attendez vous à une hausse de votre taxe foncière de + 6 % Le maire et son équipe restent dans le déni et ne baissent pas les taux d’imposition !
Pire ils nous présentent pour 2023 un budget de fonctionnement encore en hausse de plus de 3 % !
La gabegie continue ! rien ne s’y oppose !
–La commune n’a plus la ressource (épargne) pour financer les investissements incontournables d’entretien et de sécurisation des bâtiments publics .
–La commune cherche à vendre les biens fonciers.
-Le maire fait la « mendicité » pour recevoir des subventions !
Le Maire n’a plus de pouvoir de négociation.