Pérols : lancement de « En avoir pour ses impôts locaux» ?

Jean Pierre Rico maire de Pérols, rend-il les services publics attendus par tous les citoyens habitants la commune de Pérols ?
Jean Pierre Rico Maire de Pérols a-t-il la fibre de l’intérêt général qui doit passer avant l’interêt personnel ? (sa réélection en 2026 )

L’usager habitant paye ses impôts locaux, il s’engage dans diverses associations, (solidarité) mais en retour quels services d’intérêt général lui sont rendus par la mairie de Pérols ???

En retour les usagers en ont-il pour leur argent en sachant qu’à Pérols le coefficient d’effort fiscal est le plus élevé pour le contribuable Pérolien ! (165) 

Mr Gabriel Attal nous propose une  consultation publique en ligne
« En avoir pour mes impôts »

L’objectif de la consultation « En avoir pour mes impôts » est de donner aux contribuables l’opportunité de s’informer et d’exprimer leur avis sur l’utilisation de leurs impôts.

Sur une recette totale de 14,4 millions d’€ La municipalité reçoit 12,8 millions d’€ de recette fiscale soit 88 % de la recette totale dont 78 % soit 11.3 millions d’€ de recette d’impôts locaux (taxe foncière …)

La municipalité de Pérols reçoit chaque année la plus forte recette de fiscalité directe : A Pérols recette fiscalité directe = 1 182 € par habitant référence moyenne de la strate = 875 €. C’est pour le maire de Pérols 2,7 millions d’€ supplémentaires chaque année . De quoi s’interroger :

Que fait le maire de Pérols avec autant de deniers publics ? 14,5 millions d’€ de recette globale dont 88 % est de la recette fiscale (particuliers professionnel) qu’il ponctionne aux habitants propriétaires de biens immobiliers y compris professionnels

Créons à Pérols une consultation publique « en avoir pour nos impôts locaux » Il sera donc possible aux contribuables de donner leur avis sur les objectifs et les priorités de la dépense publique sur la commune de Pérols 

A Pérols on ne va pas se priver ! Le maire pratique l’omerta totale sur la gestion des finances de la ville ! Alors demandons lui des explications !

sosperolsnotrevillage.fr  sosperolsnotrevillage@gmail.com

Pérols , « clivée », séparée, inconciliable ? 

Est-ce qu’il y a une forme d’incompréhension du maire de Pérols avec une majorité de néo-Peroliens  ? OUI !

Est-ce une fatalité ? NON 

Le laisser faire …
C’est entraîner la Ville de Pérols vers un déclin culturel et économique !

C’est accentuer le clivage « gens du village » – « habitants des quartiers résidentiels ! 

Définitivement Pérols est destinée au statut confortable de la ville dortoir préférée des retraités et actifs aisés, avec un zone d’activité économique appartenant soit à la métropole soit à la Région (parc expo Arena )

Demain l’intercommunalité s’imposera.   
Autant anticiper et fusionner la collectivité territoriale de Pérols .
La dépendance s’est fortement accélérée depuis 2014.  

C’est une solution qui serait la plus économique.
On pourrait réduire de 50 % les dépenses de fonctionnement de la collectivité !
Et baisser les taxes foncières des actifs assujettis et des investisseurs habitants sur Pérols. « En avoir pour ses impôts locaux » 

Jean Pierre Rico aura, de par sa stratégie absurde et son obstination pour les festivités de cœur de ville, marqué l’histoire économique de  la commune vers une image de médiocrité ! Affligeant, absurde !!!! 

Continuons à le contraindre pour une gestion plus sobre !
Et vers un comportement plus exemplaire ! 

Sosperolsnotrevillage.fr     sospérolsnotrevillage@gmail.com 

Rappel : la municipalité de Pérols dépense chaque année 3 millions d’€ de plus que la municipalité Du Crès .  Commune comparable !!!!    Savez-vous pourquoi ? 

En avoir pour mes impôts.

Et si Pérols elle aussi, organisait une campagne locale sur le thème :

 « En avoir pour nos impôts locaux »

Combien payez vous d’impôts locaux destinés à la commune de Pérols ?  (Taxe foncière ….)

En retour de votre « participation financière » ….

1/ Avez vous une vision à quoi sert la recette de fiscalité directe perçue par la municipalité de Pérols.???    (montant annuelle de la recette = 14,4 millions d’€ dont 11,3 millions d’€ de recette de fiscalité directe )

2/ Quelle est la capacité d’auto financement qui permet, à la municipalité de Pérols,  d’investir pour un avenir meilleur ? (Taux d’épargne brute et Plan Pluriannuel d’ investissements)   

3/ En comparaison avec les autres communes quel diagnostic faisons nous sur la gestion des finances communales ? 

4/ autres questions …

Pour information ci-après : communication du gouvernement à propos de la campagne nationale : « En avoir pour mes  impôts !  « 

sosperolsnotrevillage.fr.   sosperolsnotrevillage@gmail.com

Suivre la campagne nationale « En avoir pour mes  impôts !  « . (Clic ici)

gghttps://www.economie.gouv.fr/enavoirpourmesimpots#

Pros et antis-corrida dans l’arène de la justice administrative, à cause de l’entêtement de deux hommes et d’une majorité municipale passive.

Le Crac Europe et l’Alliance anti-corrida avaient saisi la juridiction via un référé suspension visant à interdire la tenue de la manifestation dans les arènes, le 15 juillet prochain. L’audience s’est tenue ce matin devant le Tribunal administratif de Montpellier.

Y aura-t-il une corrida le 15 juillet prochain dans les arènes de Pérols ?
Cette question a (gentiment) agité, hier matin, le mundillo de la justice administrative montpelliéraine.
Ou pros et anti-corridas – Comité radicalement anti-corrida et Alliance anticorrida d’un côté, commune de Pérols de l’autre – se sont tour à tour portées des piques avec force arguments voire arguties.

Pour les demandeurs, la chose est entendue : l’absence de continuité de tradition locale « depuis plus de vingt ans (depuis 2003 en fait, NDLR) », suffit, a ainsi estimé Me Thouy conseil du Crac Europe.

« C’est comme si Marlboro vous produisait
une note sur l’absence de nocivité du tabac ! »

Et l’avocate de bétonner : « Il y a urgence à agir avant que ce potentiel délit (l’acte de cruauté envers un animal est puni de cinq ans d’emprisonnement au maximum, NDLR) que ce potentiel délit se commette, sachant qu’il n’y aura pas de décision sur le fond avant le 15 juillet.
Pérols nous explique que les taureaux ont été choisis pour leur dangerosité puisque surnommés les tueurs de toreros ».


L’auxiliaire demandant également au juge administratif de se prononcer contre l’illégalité des délibérations municipales votées pour la tenue de ce rendez-vous.

Puis de se gausser et porter l’estocade à son contradicteur au sujet d‘une prétendue tradition locale et les recommandations émises par l’Union des villes taurines de France : « C’est comme si Marlboro vous produisait une note sur l’absence de nocivité du tabac ! ».

« On en est à vous produire des photos
de têtes de taureaux (…) et de paella ! »

Quant à la présence d’un club taurin pour justifier cette manifestation… « Il a cent ans mais aucun rapport d‘activité !
Sur les 9 400 habitants de Pérols, le club ne compte que cinquante membres, cela représente 0,52 % des habitants de la commune.
On est quand même très, très loin d’une adhésion de la population à la pratique de la corrida. Son arrêt en 2003 s’est fait dans l’indifférence générale, sans bruit ni recours.
Pour justifier cela, on en est à vous produire des photos de têtes de taureaux installées sur une aire de jeux et de paella ! »

Bref, autant de muletas également, mais différemment, dénoncées par son confrère nîmois Me Belaïche représentant trois Péroliens et l’Alliance anti-corrida.
L’avocat d’inquiétant également du coût de la manifestation pour les fiances publiques : « Les taureaux sont des Muria qu’il va falloir acheter pour quatre-vingt mille euros, soit quatorze mille euros par bête ».
Cela s’en compter sur les salaires, la police d’assurance, le nettoyage des arènes…
« Il y aura des conséquences sensibles pour le budget de la commune.
Le maire parle d’une opération blanche car financée par des mécènes, permettez-moi d’en douter ! »

« Le débat c’est celui de la tauromachie »

La corrida, « cette boucherie » ?
« Une violence que la Société rejette. C’est une évolution des mœurs qui touche tout le monde, même les villes organisatrices ».
La décision municipale ?
« Une délibération lyrique. On a l’impression de lire un roman. »

« Le débat c’est celui de la tauromachie, pas de savoir si c’est la tradition ou pas », estime Me d’Albenas.
Le retour de la corrida ?
« Une demande du club taurin qui va porter l’organisation, pas la mairie ! ». 
Un désintérêt du public pour la chose taurine ?
« La moitié des 1 500 places est déjà réservée et il y a une école taurine en place depuis plus cinquante ans.
Et la jurisprudence régionale est justifiée pour les spécificités locales », embraye l’avocate. 
Fort de ces éléments dialectiques, le juge rendra son ordonnance ce mardi 16 mai.

Important :
Ce samedi 13 mai, une manifestation contre la corrida, déclarée auprès de la préfecture, se déroulera à Pérols.
Les organisateurs donnent rendez-vous aux participants à midi devant les locaux de La Poste.

Une avocate qui s’exprime comme si vous rencontrez Jean-Pierre RICO un après-midi dans Pérols.

Péroliens si vous soutenez le fait qu’une corrida ne vienne pas tacher de rouge notre belle commune, venez toutes et tous demain devant la médiathèque à midi.

Ci dessous le communiqué de l’Alliance Anticorrida.

C’est ce matin que le tribunal administratif de Montpellier examinait le recours de l’Alliance Anticorrida et de trois habitants de Pérols visant à attaquer la délibération du conseil municipal autorisant la reprise des corridas, après 21 ans d’arrêt. Les débats se sont principalement tenus autour de l’existence d’une tradition locale ininterrompue, laquelle peut-être invoquée pour autoriser l’organisation d’une corrida.

 Or le législateur a laissé le soin aux juges d’apprécier et de préciser les contours de cette notion très particulière. On ne peut plus aujourd’hui, compte tenu du brassage des populations, en faire une lecture élargie.

Contrairement à l’Alliance Anticorrida, la municipalité de Pérols n’a versé au dossier aucune preuve ou témoignage d’habitants souhaitant renouer avec la corrida qui s’est éteinte dans l’indifférence générale.

L’avocate de la partie adverse qui se qualifie elle-même d’« aficion » a indiqué : « Si la corrida a cessé à Pérols c’est parce que les taureaux de la dernière novillada avaient été mauvais » Et, pour faire la preuve que Pérols fait partie d’un ensemble démographique où l’on peut organiser des corridas, elle a asséné « Il y a des corridas à Nîmes et à Béziers mais aussi à côté à Palavas et au Grau-du-roi. »

Or ces deux dernières  villes ont cessé de donner des corridas il y a déjà plusieurs années !

Les temps ont changé. Le Pérols de 2023 n’est plus le Pérols des années 2000. C’est l’une des 31 communes qui composent l’Agglo de Montpellier et aucune d’entre elles ne donne de corrida en spectacle.

  « La tenue d’une corrida étant constitutive de sévices graves et d’actes de cruauté pour les animaux, la loi doit s’appliquer en l’espèce. Nous attendons donc du juge administratif qu’il interdise la novillada prévue le 15 juillet 2023 à Pérols » a déclaré Claire Starozinski, présidente de l’Alliance Anticorrida

L’ordonnance sera rendue mardi 16 mai.

Pour autant,  la bataille juridique ne fait que commencer. L’Alliance Anticorrida a introduit un référé.
L’assignation vise le club taurin Lou Razet de Pérols et la société Peliz organisation. L’audience est fixée le 1er juin 2023, à 14 heures, devant le tribunal judiciaire de Montpellier.