Souvenons nous quand la presse nationale avait épinglé Pérols.

L’article de Capital.fr

« À Pérols, puisque les finances sont dans le rouge, la municipalité a choisi d’appliquer le vieux dicton romain : “panem et circenses” (du pain et des jeux, ndlr).
Elle a fait construire une charmante aire de jeux pour les enfants. Ravie de son projet, la commune n’a guère fait attention au devis. À quoi bon ? En définitive, l’aire de jeux a coûté 200.000 euros.
Le double du prix habituel pour un tel équipement,
La gestion des deniers publics n’est visiblement pas un jeu d’enfant dans cette commune de l’Hérault.« 

Et aujourd’hui.

350 000 € pour désenclaver le terrain encierro et la maison « Boudet« .
1 300 000 € pour la construction du bâtiment associatif plus tôt que réhabilité la salle Yves Abric.
450 000 € pour acheter une maison de ville pour en faire une bodega.
150 000 € pour acheter une statue de taureau.
C’est la cerise sur le gâteau la création de sept portes dans les quartiers de Pérols toujours pas chiffré.

Le Maire de Pérols ; le meilleur collecteur d’impôts locaux .
Le roi de la taxe.