Les gros bacs en béton de la Grand Rue fuient de plus en plus.
Le cœur de village se meurt à petit feu !
Des bacs à fleurs installés sur les trottoirs en dépit du bon sens.
Et pour les poubelles du cœur de ville, nous n’avons pour le moment aucune communication de la part de monsieur Jean Pierre Rico.
Le très beau marché du samedi matin et les mercredis du terroir ne donnent qu’une illusion d’un éphémère développement des activités commerciales dans le village !
Le petit commerce local reste…. le petit commerce de rue !
Il faut enlever ces « Truc » et nous remettre du charme dans les rues du village et pas seulement de l’attrait de façade.
SOS Pérols notre village.
Les commerçants sont sous les contraintes de loyers et de taxes foncières sur élevées par décision du Maire (cf délibération avril 2016 vote de + 36 % des taux d’imposition).
Cela s’appelle une trahison perverse et absurde, qui dévalorise les biens professionnels et les habitations trop exposées aux bruits des festivités excessives.
Quand on pense embellir en faisant n’importe quoi, on obtient de la dégradation économique.
C’est l’opposé d’un rayonnement à valeurs ajoutées.
C’est une stratégie absurde !
Grand rue, que dire de tous les bacs « à plantes » qui laissent ses traces dégoutantes.
On attend de voir comment cela va se passer quand on aura retiré au centre ville de toutes les poubelles encastrées.
C’est vrai, mais c’est comme toujours avec monsieur Jean Pierre Rico, il nous vend du rêve et nous, nous voyons les réalités.
La clientèle de « buveurs de rue » n’arrange pas la notoriété, ni la performance économique du petit commerce !
Des rues qui sont encombrées cela ne facilite pas la mobilité pour tout le monde.
Pérols est une très belle ville, très bien située , très agréable à vivre , mais la commune est gérée par une équipe de gouvernance très désagréable et totalement hors sol , hors de toutes réalités socio-économiques !
Commune de Pérols mal gérée, c’est le paradoxe, de trop de richesse municipale (recettes fiscales) qui pousse au gaspillage plutôt qu’à l’investissement structurant et prioritaire !