Buvons, buvons, buvons
Le sirop Typhon, Typhon, Typhon
L’universelle panacée, eh ! Eh !
A la cuillère
Ou bien dans un verre,
Rien ne pourra nous résister
Cela fait 10 ans que Jean Pierre Rico dirige les destinées de la commune de Pérols.
10 ans de « balade du citoyen » avec des effets d’annonces sans réalisations concrètes !
Pendant les premières années de mandat Jean Pierre Rico nous a baladé avec la réalisation du site de restauration « La Cabane » au triangle de l’avranche (Plouf)
Il nous a baladé avec le projet Ode à La Mer version 1.
Il a surtout baladé de nombreux commerçants du Fenouillet en promettant une délocalisation et réinstallation prioritaire (Plouf)
Ensuite il nous a encore baladé avec son idée de téléphérique ! (Envolée )
Il nous a baladé avec sa monumentale statue de taureau (Bof !)
Il nous balade avec ses portes d’entrée de village (inutiles)
Il nous a baladé avec son projet de Pavillon des arènes avec salle associative (Plouf)
Il nous balade avec ses somptueux espaces publics de parking très coûteux avec des fontaines d’eau ferrugineuse (La fontaine Bourvil)
Il nous balade avec ses amis Nicollin et Partouche avec ce nouveau stade de foot et plus commerces plus bureaux et un Casino (7 millions de recettes pour la commune )
Il nous balade avec la création d’une troisième fontaine ( ? )
Il nous a baladé avec sa promesse de faire construire deux résidences Seniors.
Il nous balade et cela coûte très cher !
Il est le recordman de hausse de l’imposition locale et en résultat.
Il ruine la commune dans laquelle 80 % des habitants sont peu utilisateurs des services publics municipaux (les associations font le travail !)
Quel formidable conteur.
Le conteur ne récite pas un script figé.
L’histoire reste en mouvement dans son esprit.
Il peut la modifier en fonction du public, du lieu et des imprévus.
Pas de texte écrit, mais une grande liberté pour s’adapter.
Lorsqu’il raconte, il utilise un langage concret, centré sur les sensations et l’action.
Son but est de faire apparaître des images dans l’esprit des spectateurs.
Chaque auditeur recrée l’histoire à sa manière.