Réaction d’un lecteur devant le panneau d’enquête publique pour l’aménagement de l’Avranche :

Rien de surprenant à ce mode d’information, de communication.
C’est le même procédé que pour l’implantation des antennes sur la zone naturelle protégée de Saint Vincent.
Il faut être le plus discret possible pour ne pas éveiller les soupçons et les questions dérangeantes. A Saint Vincent, les antennes relais étaient bien cachées, couchées dans l’herbe et lorsque le dernier appartement du programme immobilier juste en face a été vendu, elles ont été redressées. Surprise !

Un autre lecteur habitant au port de Pérols.

Il aurait pu dire que c’était le même mode de communication lors de l’autorisation de la construction du restaurant boîte de nuit « La Cabane de Pérols ».

Un autre lecteur.

La grande différence entre les opérations des antennes , du restaurant de la cabane et le projet de L’Avranche est que pour les deux premiers il y avait peu d’engagement financier de la commune.

Alors que pour l’Avranche il y en a pour 4 millions d’€ d’investissement !

D’autres maires auraient pensé à l’amélioration de l’accueil et l’éducation de la petite enfance ou refaire les installations sportives !

Voilà la nouvelle façon de communiquer de Jean Pierre RICO.
 » La contorsion  » à un coin de rue de façon à ce que personne ne puisse en prendre connaissance.
Merci, monsieur le maire.

Le fait du Prince.
En dix ans du « Ricotisme » que pouvons nous comprendre de la politique d’aménagement du territoire Pérolien  ?
Du Non Sens, de la gabegie !

Quel constat à propos de la performance économique.
Le résultat très médiocre d’une politique de rayonnement et d’attractivité !
Il est très surprenant de découvrir qu’un comite de la jeunesse a pour objectif  d’accompagner la jeunesse à organiser des festivités et des initiations aux tradition locales.
Une jeunesse qui a pour avenir de rester employé municipal ?

Les erreurs d’une gouvernance hors sol se multiplient !
En dix ans une seule installation publique a vu le jour à Pérols :
Le Pumptrack.
On n’oublie pas cette aberration des antennes implantées dans une « zone protégée. »

La construction dans le bassin  d’extension du « Pumptrack de Pérols » a surpris beaucoup de Péroliens et a attiré beaucoup de critique du choix du lieux.
A ce jour nous en somme à la Xème inondation.

Ci dessous les photos prise deux jours après les évènements climatique.
Le bassin c’est presque totalement vidé.
Combien de temps vont résister les constructions?

Comme toujours avec monsieur Jean Pierre RICO du clinquant, du m’as tu vu et des dépenses inutiles pour l’intérêt général des usagers Péroliens .

Avec l’argent public il  finance une allée qui va augmenter les eaux pluviale dans le bassins.
Il l’a recouverte d’un revêtement imperméable.

Et bien sur toujours pas de toilettes pour les enfants utilisant le square et le Pumptrack!
A Plus de 200 000€

sosperolsnotrevillage.fr

Un maire trop « riche » ce sont des dépenses inutiles assurées.
Il n’est pas question de rendre un « trop perçu » !! !
Cela serait reconnaître une faute grave de gestion des finances communales.
Alors à Pérols le maire dépense à tout va.
Cela procure l’émerveillement de la population non assujettie à l’impôt local.
C’est gratuit.

Je me souviens ( quant j’étais encore salarié) que ces RALENTISSEURS 3.00X1.85X0.22 coûtaient environ 5 000 € pièce.

Il y a des façons de faire tout aussi efficaces et beaucoup moins onéreuses.
Mais la commission finances (dirigée par monsieur Jean Pierre RICO dont il est le seul participant pendant longtemps), doit consommer les budgets alloués à la suite d’une caricature de débat d’orientation budgétaire.

Toujours dans le sujet, combien de ralentisseurs sont illégaux à Pérols?

Quelques règles à respecter :
-des voies empruntées par des lignes de transports publics de personnes.
-Dans les virages d’un rayon supérieur à 200 mètres, et dans leur sortie, à moins de 40 mètres.
-Ils sont exclus des voies classées à grande circulation supérieure à 3 000 voitures/jour.

• Les ralentisseurs, d’après la norme, ne doivent pas dépasser 10 centimètres de hauteur.