Un lecteur nous a envoyé un mail que nous reproduisons ci-dessous.
Faite de même sur sosperolsnotrevillage@gmail.fr
Un casino touche les fonds, la commune de Pérols touche le fond !
Monsieur le maire ne sait plus quoi faire pour asseoir le rayonnement de la commune.
Trois piliers du rayonnement déjà présents :
– Les toros,
– La fiscalité galopante qui étrangle les propriétaires fonciers,
– Les boissons rafraichissantes !
Il ne manquait plus que le jeux !
Dans l’esprit de Monsieur Jean Pierre Rico le casino est là comme soutien au financement du futur stade de football qui a du plomb dans l’aile !
On aurait pu penser que la présence d’un casino aurait pu contribuer à faire baisser les impôts locaux qui pèsent sur les épaules des contribuables encore assujettis à la fiscalité locale.
Et bien non !
C’est raté ! Si vous n’êtes pas contents aller habiter ailleurs (dixit le maire).
Nous reparlerons de la qualité de vie à Pérols quand le stade sera là avec tous les problèmes d’accessibilité, de circulation, de sécurité ..
Jean-Pierre Rico y travaille « depuis neuf mois » et il sait confier à France Bleu Hérault le jeudi 28 septembre. (Clic ici)
A notre avis Jean Pierre RICO et devenu le porteur de valise de monsieur Nicollin.
Stade Louis Nicollin : Pérols veut devenir « station touristique » pour accueillir un casinoSituée en périphérie de Montpellier, la commune de Pérols s’apprête à déposer un dossier de candidature au label « station touristique ». Cette distinction permettrait à la ville d’implanter un casino à côté du futur Stade Louis Nicollin, dont la construction est prévue sur le site Ode-à-la-mer.
Alors que le projet du futur stade Louis Nicollin a un peu de plomb dans l’aile, l’idée d’y associer un casino pour assurer une rentrée d’argent conséquente, qui puisse venir rassurer les créanciers, prend de l’épaisseur. Voilà pourquoi le maire de Pérols, soutien de la première heure, s’apprête à déposer une candidature afin de faire de sa commune une « station touristique », condition sine qua none à la construction d’une salle de jeux.
Jean-Pierre Rico y travaille « depuis neuf mois », confie-t-il à France Bleu Hérault, et ses travaux sont sur le point d’aboutir. En effet, son dossier sera soumis au vote, en conseil municipal, le 12 octobre prochain, avant d’être envoyé en préfecture.
S’il est validé, la commune décrochera une distinction similaire à celle de Maugio, Agde, La Grande Motte, Palavas-les-Flots et Sète (stations balnéaires) ou encore Lamalou-les-Bains (station thermale). Et alors que la métropole a dépassé la barre des 500.000 habitants au 1er janvier 2023, Pérols sera le seul des 30 villages entourant Montpellier à le posséder.
Pourtant, la cité n’apparaît spontanément comme un aimant à touristes. Mais Jean-Pierre Rico assure avoir des arguments, et l’édile les défend : « nous avons nos spécificités, avec l’Arena, le Parc des expositions, notre port de plaisance et de pêche traditionnelle, nos manifestations l’été, le marché hebdomadaire, le marché d’été, les arènes », lui qui rappelle que Pérols a déjà été classée, il y a deux ans, « ville touristique ».
Dans les jours et semaines à venir, Jean-Pierre Rico espère ainsi qu’un office de tourisme verra le jour sur son territoire. Il s’agit là d’un des critères essentiels à l’attribution du label, selon lui. Parmi les autres, il faut « un certain nombre de lieux d’hôtellerie pour accueillir les touristes, un maître restaurateur sur la ville, un dispositif de tri sélectif des déchets, des lieux attractifs et historiques, ou encore des dispositifs de sécurité ».
Avec cette démarche, Jean-Pierre Rico confirme sa volonté de souffler dans le dos des Nicollin : « On sait qu’en terme de mobilité et de stationnement, il faut être vigilant. Je le serai. En terme de sécurité, j’ai fait beaucoup de réunions avec les services de l’état. Je serai intransigeant. Mais il n’en demeure pas moins que j’ai toujours dit que j’aiderai à porter ce projet. Je n’ai pas changé d’avis. Depuis le 1er janvier, j’ai décidé d’accélérer cette procédure. Je suis en train de boucler la boucle », conclut-il, auprès de France Bleu Hérault.