Cette affaire ressemble de plus en plus à l’affaire « la Cabane ».
Cette décision nous indique à quel point monsieur le Maire a une âme écologiste.
Voici une des promesses de campagne foulée du pied par monsieur le Maire.
Il est bon d’entendre monsieur le Maire comment il conçoit l’information et la
consultation.
À cette résidence
On impose sous leurs fenêtres.
Une l’installation d’un relais de radiotéléphonie deux pylônes de 30 m de haut + 20 m d’antennes (Soit la hauteur d’un immeuble de 10 étages) sur un terrain d’une superficie de 1297m2.
Une association de défense de l’environnement nous informe:
La métropole a émis un avis défavorable dont le Maire n’a pas tenu compte puisqu’il a délivré une autorisation par une déclaration préalable d’occupation du sol nécessaire à l’aménagement de cette antenne.
Comme l’a souligné la métropole, le terrain d’assiette de la parcelle AW0197 est situé en zone N du PLU et dans la bande littorale des cent mètres.
Ce type d’aménagement n’est pas possible dans cette zone.
En effet, les dispositions des articles N-2 du règlement du PLU ne prévoit pas la possibilité de cet aménagement.
Monsieur le maire les a imposé à ces Péroliens en passant outre cet avertissement.
La consultation du DIM (clic) nous indique pas la construction de deux antennes et ce passage nous interpelle:
« L’implantation de la nouvelle antenne a été choisie après une étude de géomarketing poussée pour répondre au mieux aux attentes et aux besoins sur le territoire de la commune. »
Alors pourquoi les avoir plantées à la frontière de notre commune pour couvrir les communes avoisinantes.
Mesdames et Messieurs les élus de la majorité, soutenez-vous monsieur le Maire pour ce passage en force ?
Pour votre information, l’affaire de « la Cabane » a commencé comme ça.
Le projet est prévu sur une zone classée naturelle et non constructible.
On est en plein poumon vert de la commune, c’est un corridor écologique pour la faune et la flore, on est à proximité des habitations, et tout cela se fait sans aucune concertation.
Pour un peu de revenu pour la commune le maire déprécie la valeur de nos logements.
Les antennes ont été placé a cet endroit pour desservir aussi Carnon et Pallavas.
Le Dr Patrice Halimi, porte-parole de l’Association Santé Environnement France, écrivait à tous les sénateurs et députés pour réclamer l’adoption d’une loi réglementant l’implantation des antennes relais. Sa lettre ouverte a depuis été soutenue par près de 1 500 personnes, dont un sénateur et un député, ainsi que par les principales associations travaillant sur le sujet : « Robin des Toits », « Priartem » et le « Criirem ». Aujourd’hui réunies, les quatre associations s’adressent de nouveau à nos représentants pour leur demander de prendre des engagements.