Aberrations à la mairie de Pérols

Ralentisseurs à Pérols …
Une aberration de plus à la mairie de Pérols ?

Une décision de justice vient de rendre obligatoire, pour l’ensemble des dispositifs, les règles de forme et de taille et rend illégaux la moitié des ralentisseurs . Lire l’article du mensuel Le Point, clic ici.

Le grand n’importe quoi fait avec les ralentisseurs dans Pérols par Jean Pierre Rico, est à revoir.

« Cette latitude donnée a ouvert la voie à tous les excès et notamment à des implantations de ralentisseurs qui obtiennent l’effet inverse à celui recherché, c’est-à-dire d’augmenter la dangerosité lors du franchissement pour les voitures, mais aussi les deux-roues. »

« Hauteur excessive, pente incorrecte, implantation à proximité d’une courbe, visibilité de l’ouvrage, tout y passe au point que cela altère le bilan d’accidentologie au lieu de l’améliorer »

« Or, la décision de Marseille supprime toute interprétation par rapport au décret extrêmement précis de 1994, obéissant à la norme Afnor NF P 98-300.
Cette dernière donne les règles de forme, de hauteur et de lieu d’implantation et, mise à jour depuis, souligne qu’elle est dédiée aux seules voies limitées à 30 km/h. »

« Avec cet arrêt est définitivement interdit le recours au guide « coussins et plateaux » du Cerema (ex-Certu), qui servait aux élus pour contourner une réglementation volontairement « très stricte », se réjouit l’association. Pour étayer ses recours et recenser les nombreux points litigieux du réseau routier, la Ligue a d’ailleurs créé une application remarquable. Celle-ci, ouverte à tout usager, permet à chacun de signaler les aberrations et non conformités du réseau qui peuvent conduire à enquête auprès des pouvoirs publics, imposer des travaux de rectification ou, à défaut, des recours en justice. »

 

Des centaines de ralentisseurs vont-ils bientôt être jugés illégaux et détruits ?
C’est ce qu’espèrent sans doute les associations de défense des usagers que sont Pour une mobilité seine et durable (PUMSD) et la Ligue de défense des conducteurs (LDC).

Ainsi, pas moins de 300 dossiers sont actuellement en cours d’instruction à ce sujet.
Des avocats spécialisés sont au travail pour faire changer la donne.
Alors que les décisions de justice s’enchaînent en faveur des associations luttant contre ces dos d’ânes illégaux, ces dossiers pourraient n’être qu’un premier pas.

Effectivement, 450 000 ralentisseurs français ne seraient pas en conformité avec la loi.
Ils pourraient donc être attaqués, afin de les faire changer ou de les détruire.
Lire l’article dans son entier sur « Auto Moto ». Cliquez ici.

Combien de ralentisseurs sont non conformes sur le territoire de Pérols, monsieur Jean-Pierre RICO ?

Merci de remédier à ce désordre pour nos véhicules qui subissent tous les jours l’agression de ces dos d’ânes.