Mediocratie
Objet: Pérols et le Syndrome de la Médiocratie
Pérols : Le 10 Novembre 2019
ambiance, …. « avant-première » des prochaines élections municipales de 2020 …..
Le syndrome de la « médiocratie »
Définition C’est un état qui dégrade les modalités de fonctionnement et de performance d’une collectivité. Le syndrome de la « médiocratie » est inodore, incolore, invisible. Il est la face cachée, des pratiques de gestion des affaires citoyennes et de l’état réel des finances. Au fil des ans et des mandats il s’émancipe par le « non-dit » ou le « laissé faire » et ne produit que la tromperie de l’électorat. « C’est la faute à personne si la commune est ruinée »
Développement Le syndrome de la « médiocratie » s’installe et se propage dans une collectivité par, des postures et des comportements souvent immoraux, des modes de pensée souvent « enfantins », des types de raisonnement irrationnels. Les empreintes laissées par le syndrome sont teintées, de négativisme et d’obscurantisme, d’interprétations, de coups bas, de petites vengeances.
Extensions Cela devient une posture et des propos immoraux pour atteindre coute que coute le pouvoir et ainsi satisfaire l’ego de certains. La vengeance personnelle en devient le carburant et l’objectif, bien avant l’intérêt général des citoyens. La pratique de « l’arrangement entre amis » s’installe, le clientélisme se déploie progressivement, le laxisme facilite bien souvent les « affaires » et les ententes entre amis. (Électeurs captifs)
Avantages Les animateurs « diffuseurs » de ce syndrome sont très intéressés pour capter l’information et mieux la transformer. Ils pratiquent leur art : la critique systématique à propos de tout et de m’importe quoi. L’information prends des variantes parfois totalement contradictoires, on ne sait plus où est, la vérité, ni qu’elle est la réalité. Risques Au sein d’une communauté, ou d’une collectivité ce syndrome de la « médiocratie » s’installe et parfois progresse lentement avec le temps jusqu’à la situation ce qu’elle devienne insoutenable financièrement. Le risque est que ces comportements immoraux perdurent par le fait que les mêmes individus battus ou exclus du pouvoir, en recherche de vengeance personnelle, se représentent à chaque élection municipale. (cela se confirme pour 2020) Ainsi l’électorat local n’a pas d’autres choix que de voter pour la moins mauvaise des listes. Il suffit de peu d’individus propagateurs (*) du syndrome pour que celui-ci s’installe durablement et ne propose de « tuer » la tête pour prendre la place (*) nouveaux candidats). Les « porteurs » du syndrome changent de bord sans vergogne, les électeurs pensent voter pour un changement alors que dans les faits il n’en est rien ! Les programmes et engagements présentés aux élections municipales sont irréalistes, inadaptés et souvent mensongers. Les battus ou exclus sortis (destitués) par la petite porte veulent revenir par la fenêtre : les mêmes reviennent tous les six ans Le négativisme et l’invective non productrice se régénèrent à chaque campagne pour les municipales. Tout devient polémique, les sujets qui concernent l’affectif, dominent largement des faits et des actes qui pourraient démontrer expertise compétence.
Mécanismes Force est de constater qu’il existe au sein d’un collectif, d’un groupe, d’une communauté un petit noyau d’individus atteint du syndrome de la « médiocratie ». Ce noyau est à la recherche d’alter égos (même groupe politique) ou de « crédulité » afin de former un groupe ou un collectif plus important. L’utilisation des fêtes publiques et des réseaux sociaux permet à ce collectif de réaliser une « propagande » construite sur, l’interprétation mal intentionnée de la réalité et, sur la diffusion d’informations erronées. A Pérols il faut revenir plus de trente, ou même cinquante, ans en arrière pour en appréhender les origines du syndrome. Ce que l’on observe c’est qu’à Pérols ce syndrome résiste bien et est encore bien vivace.
A Pérols, comme ailleurs, il ne touche pas tout le monde. Pour ceux, peu nombreux, qu’il atteint, il existe des degrés différents de contamination.
Moyens Une communauté, une collectivité territoriale, une majorité municipale, peut très facilement être déstabilisée par les effets du syndrome de la « médiocratie ». La rumeur prend le pas sur la réalité, l’invective et parfois la menace s’expriment. La médiatisation par réseaux sociaux, d’un incident ou d’une action, mineur fait passer au second plan la décision ou l’acte de progrès essentiel. La fourberie, le mensonge, l’endoctrinement peuvent l’emporter et ainsi permettre aux quatre ou cinq meneurs d’arriver à leurs fins : « faire tomber la tête ». Les promesses « de campagne » en faveur d’une Démocratie Citoyenne idyllique, d’une démocratie participative idéalistes, ne sont que manipulations « électoralistes » sans fondement. Très vite le syndrome de la « médiocratie » fait partie des « habitudes relationnelles », et génère des comportements et postures irraisonnées ainsi que des propos irresponsables, indigne de l’élu (même si celui-ci appartient à l’opposition) ou du Président d’un collectif Citoyen. Seul l’intérêt personnel prime sur l’intérêt général.
Périls pour Pérols Lorsque le syndrome de la « médiocrité » s’installe trop longtemps cela peut entrainer des conséquences parfois irréparables ou durables qui ne feront que, ralentir le développement socio-économique de la collectivité locale et, dégrader l’image de la commune et de ses habitants.
A Pérols, il faudra faire preuve de patience pour réduire les effets négatifs du syndrome de la « médiocratie ». La solution est sans doute de poursuivre la politique engagée depuis 2014, tout en corrigeant les mauvaises habitudes et mauvaises pratiques. Souhaitons pour demain, pour nos enfants, un Pérols fort, compétitif, et respectueux de l’environnement, des lois et des réglementations. Equité sociale, équité fiscale ! et retour à la vérité
Avec persévérance Pérols se remettra d’une situation financière laissée en fin 2013. A Pérols on paye un impôt qui est corrélé avec la valeur des biens immobiliers et à la valeur locative installée par les grands propriétaires. Depuis 2017est engagée une baisse progressive de la pression fiscale cela se poursuivra inéluctablement jusqu’en 2023. A Pérols le bon sens revient !
Amitiés sincères