Partageons les efforts pour sauver Pérols.
Le maire de Pérols veut annexer Carnon et son aéroport
L’aéroport de Montpellier-Méditerranée, situé sur la commune de Mauguio-Carnon, est l’objet de toutes les convoitises. Notamment celles de Jean-Pierre Rico, le maire de Pérols, qui se verrait bien annexer Carnon et ainsi intégrer l’aéroport à la métropole de Montpellier.
Vidéo de 2mn 16, de notre édile, à savourer.( clic)
Le jeu de chaise musicale commence autour de notre édile.
La conseillère métropolitaine à peine nommée débarquée par notre édile après sa première participation au conseil.
Habitude quand tu nous tiens.
On nous a écrit :
Les conseillers pour nous représenter aux réunions de la métropole ne se décident pas au conseil municipal ?
Nous allons regarder les textes et nous vous répondrons. Mais en suivant ce lien, vous avez déjà une partie de la réponse (clic)
La loi n° 2013-403 du 17 mai 2013
Dans les communes de 1000 habitants et plus, le conseiller démissionnaire est remplacé par le candidat de même sexe élu conseiller municipal ou conseiller d’arrondissement suivant sur la liste des candidats aux sièges de conseiller communautaire sur laquelle le conseiller à remplacer a été élu. Lorsqu’il n’y a plus de candidat élu conseiller municipal ou conseiller d’arrondissement pouvant le remplacer sur la liste des candidats au siège de conseiller communautaire, le siège est pourvu par le premier conseiller municipal ou conseiller d’arrondissement de même sexe élu sur la liste correspondante des candidats aux sièges de conseiller municipal n’exerçant pas de mandat de conseiller communautaire.
Information: Madame Bernadette CONTE-ARRANZ devient Conseillère Métropolitaine de Pérols en remplacement de Madame Jocelyne TAVERNE
L’article sur la cloche de Pérols a été vu par 66 personnes et a suscité 3 commentaires sur la journée de samedi.
Merci
Suite à notre article du 3/8/2020, un lecteur plein d’humour nous a envoyé cette caricature et ce petit texte.
Une nouvelle monarchie municipale s’installe à Pérols.
Le même problème que lors du dernier mandat.
Le monarque décide de tout, régente tout et ne consulte personne, rappelons-nous:
23.36 % des inscrits ont voté pour l’équipe dirigeante actuelle.
Cette équipe municipale va-t-elle tenir longtemps sans que quelques éléments déçus quittent ce bateau.
Pour nous comme pour Google:
Le droit à l’humour, à la satire et à la caricature est reconnu par les tribunaux. C’est ce qui a justifié en 2007 la relaxe de « Charlie Hebdo », attaqué en justice par la Grande Mosquée de Paris pour avoir publié les caricatures danoises de Mahomet.
A la première mandature il a fallu un an pour qu’un élu démissionne, allons nous attendre moins longtemps pour assister au même événement.
L’affaire de la cloche semble déplaire à certains élus qui ont appris par nous les intentions de notre édile.
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Un élu démissionne.( septembre 2015)
Après à peine un an de mandat exercé aux côtés de Jean-Pierre Rico, le maire UDI de Pérols, Éric Cavagna, son adjoint aux finances et à la commande publique, renonce à son mandat d’élu.
C’est en juin dernier qu’il a annoncé qu’il démissionnait, refusant même de rester simple conseiller municipal.
Le motif ? Un désaccord profond avec le premier édile sur la gestion budgétaire de la commune.
Dans Midi Libre, à l’époque, il dénonçait : « Il y a des divergences de points de vue, de manières de faire, de manières d’être. Je découvre des embauches et des engagements financiers pour la commune dont je ne suis pas informé.
À partir du moment où le maire décide de tout, il n’a pas besoin d’un adjoint. »
À la Métropole de Montpellier, certains y voient aujourd’hui un lien étroit avec la prise de guerre de Jean-Pierre Rico, le recrutement de la saurélienne Samira Salomon en tant que directrice du pôle social et solidarité alors qu’elle était éducatrice spécialisée pour le Département.
Contacté par la Mouette à ce sujet, Éric Cavagna affirme qu’il a découvert cette affaire dans l’Agglo-Rieuse, mais qu’il n’en était pas informé auparavant.
« Toutefois, c’est exactement ce genre d’embauche que je dénonçais à l’époque », explique celui qui travaille à la chambre régionale des commerces et de l’industrie (CRCI).