L’entretien des bâtiments communaux passe après les fêtes, aux yeux de Jean Pierre RICO, c’est moins porteur des louanges de la part de ses soutiens.
Après l’envol des velums des arènes de Pérols.

C’est maintenant la structure qui semble ne pas être entretenu ?

Jean Pierre RICO a les moyens de se payer (par nos impôts) un ténor du barreau pour défendre le retour des corridas, mais néglige le propre lieu où devraient se produire ces tueries.

La commission de sécurité a-t-elle vu cette oxydation de la structure métallique qui soutient les velums, y en a t-il d’autres ?

La municipalité de Pérols ne lâche rien, nous non plus!

La Ville de Pérols a fait appel du jugement du tribunal administratif de Montpellier interdisant la corrida et pris un ténor du barreau de Bordeaux et aficionado, Michel Dufranc.( Clic ici pour lire l’article sur METROPOLITAIN)

Introduire la corrida à Pérols est le fait du Prince.
Sans consultation, sans communication faite par son « excellent responsable de la communication », sans définir de budget, sans informer son équipe majoritaire.
Introduire la corrida à Pérols est une modification importante du vivre ensemble dans notre commune.
A minima, il aurait fallu une consultation des Péroliens.

Un jour, il faudra bien faire un bilan financier de cette grotesque « espagnolade » de Jean Pierre RICO, quant tous les recours judiciaires seront épuisés.
Le troisième acte judiciaire aura lieu à Bordeaux avant la fin de l’année.

Bonsoir, que dit le préfet concernant le bruit ?

Pour la clôture de la fête, le DJ de la pizzeria joue particulièrement très fort rue Gaston Bazille.

C’est simple que dit Service-Public.fr

Un bruit de comportement peut causer un trouble anormal de voisinage si l’auteur du bruit a conscience du trouble qu’il engendre et qu’il ne prend pas les mesures pour y remédier.

Il n’existe pas d’heures précises pour définir le tapage nocturne.
Pour être reconnu comme un tapage nocturne, le bruit doit avoir lieu quand il fait nuit, c’est-à-dire entre le coucher et le lever du soleil.

Lorsque le bruit est commis la nuit, l’infraction pour tapage nocturne existe même s’il n’est pas répétitif, intensif et qu’il ne dure pas dans le temps. Il peut s’agir du bruit causé par :

-Un individu (ou plusieurs), locataire ou propriétaire d’un logement (cri, talons, chant, fête…)
-Une chose (instrument de musique, chaîne hi-fi, téléviseur, outil de bricolage, pétard, pompe à chaleur, éolienne, électroménager…)
-Un animal (exemple : aboiements).

Les nuisances liées aux odeurs (barbecue, ordures, fumier…) ou visuelles (par exemple : gêne occasionnée par une installation) peuvent aussi constituer un trouble anormal de voisinage.

Le mieux c’est de créer une association de défense de l’hypercentre village, non pas pour interdire mais canaliser les nuisances ?

Une nouvelle fois,  nous ne sommes pas contre le maintien  des traditions,  ni contre les manifestations taurines camarguaises,  nous ne sommes pas contre la fête et la fête de village ce qui nous dérange sont les excès et les dérives qui créent de l’injustice sociétale et parfois de l’illégal !
Pourquoi chercher à fracturer diviser la belle ville de Pérols ?
« Pourquoi autoriser à l’un ce que l’on interdit à l’autre » ?
Clientélisme?

Monsieur le maire, vous nous parlez dans la presse locale de votre modèle de développement économique basé sur la fiesta, la quête du label de la commune la plus fleurie du monde et la transformation du centre-ville en gigantesque bar à ciel ouvert.

Parlez-nous donc des vrais sujets qui affectent réellement le rayonnement Pérolien et des projets pour un avenir encore meilleurs pour chaque usager .

Les constructions, d’habitation et de locaux professionnels sont en fort ralentissement.
La Croissance nette démographique et les créations nettes d’emplois se sont fortement ralenties !
Hors évolutions des taux et bases fiscales, la ressource globale de la commune se dégrade et est devenue négative !

Des infrastructures de service public (sport) sont en détérioration.
Un patrimoine communal qui se déprécie et perd ses effets d’attractivité, seules les arènes ont gardé leurs attraits « festifs » avec une bodéga !

Une zone commerciale du Fenouillet et triangle nord (kiloutou) qui se meurt, une partie est une friche !
Un hôtel qui cesse ses activités, des commerces de la galerie marchande Auchan qui ferment, une zone à détruire au fenouillet ….

Résultat : Fort déclassement économique de la zone du Fenouillet.

Des programmations de festivités surdimensionnées et plus à caractère de « beuverie » que de mise en valeur de productions locales !
Une « économie parallèle » au village qui fait porter une très mauvaise image à la ville de Pérols.
Les commerces du cœur de ville ferment les uns après les autres.
La rue meurt dans la grande rue !

Monsieur le maire, les animations et les festivités sont extraordinaires, magnifiques mais ..

– Rappelez-nous déjà quel est le coût de la culture/festivités/sécurité ?
– Dites-nous à combien s’élève le budget annuel du fleurissement de la commune ?
Combien de commerces actifs dans Pérols quand vous entrez à la mairie ?
Combien de commerces actifs dans Pérols aujourd’hui ?

Bilan :
Une gestion absurde des « affaires de la cité » qui a des impacts négatifs sur les finances communales en manque de ressources nouvelles.
Des projets d’investissement « décalés » par rapport aux urgences et aux attentes des usagers de services publics communaux.
Des plans de financement irréalisables, incompatibles avec les « ambitions et promesses démesurées » ! Une ville en fracture sociale !

Des nouveaux emprunts bancaires et toujours une surfiscalité locale qui frappe les contribuables Péroliens.
Quel investisseur averti viendra demain s’installer sur le territoire devenu trop cher !

Seul les projets Métropolitains « intercommunaux » supporter par les finances communautaires transformeront l’urbanisme de la Ville !

La mairie de Pérols et son maire sont devenus une simple chambre d’enregistrement !
Rien n’est pire pour un maire d’avoir conduit sa commune à autant de dépendance.
(soumission, emprise et paiement des taxes foncières par les propriétaires fonciers et entrepreneurs en activité….)  .

Qui sont les « patrons » de la ville de Pérols ?
Le maire est chef du comité des fêtes.
Il fait la mendicité pour des subventions !

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Combien vont coûter les festivités extraordinaires magnifiques ?
Une estimation qui ne demande qu’une réponse contradictoire et « intelligente » de la mairie, par son « excellant directeur de la communication », on va finir par croire qu’il ne sait pas communiquer ?